Contexte et univers
Absolum s’inscrit comme une tentative audacieuse de marier le beat ’em up classique à la rejouabilité typique des roguelites.
Le joueur incarne l’un des quatre rebelles — Galandra, Karl, Brome ou Cider — qui affichent chacun un style distinct, mêlant attaques au corps à corps, magie et esquives, dans le monde de Talamh confronté au tyran d’Azra, déterminé à abolir la magie.
Personnages et cadre
Le récit se déroule dans un univers dévasté où les choix de combat et les aptitudes évoluent selon les éléments utilisés par chaque protagoniste.
Mécaniques et progression
À chaque run, le niveau est réorganisé, avec des embranchements, des rencontres aléatoires et des mini-boss, tandis qu’un système d’objets actifs ou passifs offre des effets variés selon les choix effectués.
Éléments roguelite et progression permanente
La progression est permanente : les améliorations obtenues restent actives même après la mort du héros, offrant une courbe d’évolution continue.
Gameplay et retours
Du point de vue technique, le beat ’em up se distingue par des combats nerveux, des animations percutantes et des combos gratifiants, avec une fluidité notable.
Cependant, les contrôles de base peuvent paraître maladroits au démarrage, notamment lorsque certaines touches assurent plusieurs actions, comme esquiver ou interagir.
Conclusion et perspectives
Plus qu’une simple revisitation, Absolum ambitionne de redéfinir le genre en intégrant stratégie, choix et aléatoire au cœur de l’expérience.
Pour les amateurs de jeux à longue durée de vie, l’expérience semble solide dès les premiers essais. Reste à voir si le jeu saura se maintenir face à une concurrence exigeante, mais les premières promesses semblent tenues.
